26 décembre 2013

Suivre le mouvement des masses d'air, pratiquement en direct !



Grâce à des données collectées en temps réel par le Global Forecast System, l'agence météo américaine, un site internet (du développeur web, Cameron Beccario) propose d'observer le mouvement des vents partout sur la planète.

Les données sont mises à jour toutes les trois heures.

Vous pouvez zoomer, dézoomer, pointer un lieu précis de façon à obtenir ses coordonnées géographiques, la direction du vent (exprimée en degrés par rapport au Nord, dans le sens horlogique) ainsi que sa vitesse. Les vitesses moyennes des vents, des plus faibles aux plus élevées,  sont représentées à l'aide de trois teintes de base (bleu, vert, rouge).

Magnifique outil !

Vous trouverez ci-dessous le lien vers ce site.


17 décembre 2013

Peter Gabriel évoque la disparition de Nelson Mandela



"To come out of 27 years in jail and to immediately set about building a Rainbow Nation with your sworn enemy is a unique and extraordinary example of courage and forgiveness. In this case, Mandela had seen many of his people beaten, imprisoned and murdered, yet he was still willing to trust the humanity and idealism of those who had been the oppressors, without whom he knew he could not achieve an almost peaceful transition of power. There is no other example of such inspirational leadership in my lifetime."

"Passer 27 ans en prison et mettre immédiatement en oeuvre ​​la construction d'une nation arc-en-ciel avec votre ennemi juré est un exemple unique et extraordinaire de courage et de pardon. Dans ce cas, Mandela avait vu plusieurs de ses sympathisants battus, emprisonnés et assassinés, mais il était toujours prêt à faire confiance à l'humanité et à l'idéalisme de ceux qui avaient été les oppresseurs, sans qui il savait qu'il ne pouvait pas assurer une transition pacifique du pouvoir. Il n'y a pas d'autre exemple d'un tel leadership inspiré dans ma vie ".

Source : www.petergabriel.com


Images extraites de Cry Freedom ou Le Cri de la liberté, réalisé par Richard Attenborough et sorti en 1987.

16 décembre 2013

Un nouveau service de l'IGN - Cartoweb.be


Lien vers le service et le navigateur de l'IGN (topomapviewer)

Evénements météorologiques majeurs en 2012 et 2013

Source : reliefweb.int

26 novembre 2013

Londres en "timelapse"



New York, une ville qui ne dort jamais, dit-on ...
Il semble qu'il en soit de même à Londres.
La preuve avec ce formidable "timelapse" réalisé par le photographe Paul Richardson. Ce travail rassemble plus de 18 000 clichés pris en 8 jours.



Restless Nights from Paul Richardson on Vimeo.

17 novembre 2013

"Je mange donc je suis", un film de Vincent Bruno

« Comment comprendre que la majorité des personnes qui sont censées nourrir l’humanité, souffrent d’une situation catastrophique, marquée par le chômage, la pauvreté, l’exode et la faim ? »

870 millions d’affamés dans le monde (aujourd’hui plus d’un milliard).
Ce chiffre nous saute aux yeux depuis les émeutes de la faim de 2008. Dans tous les grands colloques internationaux, une question se pose à présent : « Qui va nourrir le monde ? »
Et si la question était mal choisie ? Car les agriculteurs sont capables de nourrir l’ensemble de la population mondiale.
En partant du quotidien des agriculteurs belges, le film commence un tour du monde agricole et alimentaire afin de comprendre quels sont les problèmes communs aussi bien en Europe qu’en Afrique ou au Brésil.
On prend rapidement conscience que tout est lié et que chacun a son rôle à jouer dans la résolution du problème, qu’il soit politique, environnemental ou commercial.
« Je mange donc je suis » tente de démontrer qu’un projet de société solidaire, durable et démocratique est plus que nécessaire.
La souveraineté alimentaire, ce droit revendiqué par des milliers de mouvements sociaux à travers la planète, définie comme le droit des populations de choisir leur agriculture et leur alimentation sans que celles-ci ne portent préjudice aux droits des autres peuples, s’impose d’elle même.

Un film de Vincent Bruno
Une production (2009) du CNCD-11.11.11, de Demande à la poussière (www.dalp.org) et de la Coalition contre la faim (Belgique).



13 novembre 2013

Examen décembre 2013 - Objectifs


Locaux : AB (063) / CDE (Eglise) / FG (Réfectoire)

  1. Localiser un territoire par rapport à un autre en donnant une direction (rose des vents) et en calculant une distance (échelle numérique ou linéaire).
  2. Calculer les coordonnées géographiques d'un territoire en degrés et minutes (fiche 1).
  3. Reporter les coordonnées géographiques d'un territoire sur une carte (différentes échelles possibles) munie de parallèles et de méridiens (fiche 12).
  4. Utiliser correctement les qualificatifs en rapport avec les points cardinaux.
  5. Localiser sur un planisphère muet les 23 limites naturelles sélectionnées (océans, mers, montagnes, ...) des continents.
  6. Identifier les limites naturelles des continents (exercice inverse 5).
  7. Délimiter sur un planisphère les 4 continents suivants : Asie, Amérique, Afrique et Europe.
  8. Construire géométriquement le parallèle sur lequel se trouve un territoire (Terre vue de profil) ainsi que le méridien (coupe de la Terre au niveau d'un parallèle).
  9. Identifier les 5 parallèles particuliers et restituer leur latitude.
  10. Situer un territoire : identifier (dans un ou plusieurs documents) les éléments paysagers déterminant le site (quel est le relief local, quelle est la nature du terrain, quels sont les éléments hydrographiques et comment sont-ils disposés ?).
  11. Le relief : première composante paysagère (fiche 3) - Calculer (%) la valeur d'une pente - Identifier des formes générales (plaine, bas-plateau, haut-plateau, montagne) et secondaires (colline, butte-témoin, vallée, dépression) du relief sur photos, coupes topographiques et cartes physiques.
  12. L'hydrographie : deuxième composante paysagère (fiche 4) - Utiliser correctement le vocabulaire hydrographique de base (fleuve, rivière, affluent, confluent, amont, aval, source, embouchure, rive droite, rive gauche, méandre, bassin hydrographique, débit).


Matériel

  • Des crayons : un crayon ordinaire, un crayon rouge, un vert, un bleu, un jaune, un orange (pas de feutres fins, moyens, épais, pas de "STA..." fins, moyens, énormes, ... !!!)
  • Une calculatrice
  • Une latte 
  • Un rapporteur

05 novembre 2013

Le monde fait sa révolution géographique ...



Notre rapport à la géographie est transformé par la mondialisation et la révolution numérique. La cartographie du monde est avant tout le fruit d'une Histoire qui change. Les frontières sont désormais des réalités tangibles et des faits transcendés par les technologies. Il nous faut changer nos représentations. Les récents Cahiers de Friedland (sept 2013) en délivrent quelques clefs fondamentales.


Les grands navigateurs nous ont montré hier la voie. Ils ont permis ces portulans (c.-à-d. atlas nautiques), ces mappemondes anciennes qui nous émerveillent encore et révèlent, s'il en était besoin, le chemin parcouru, jusqu'à ces temps, désormais, marqué par le GPS, l’imagerie satellitaire, etc. Certes, moins romantiques, plus opérationnels..., ces supports optimisent notre connaissance et notre appréhension du monde alors que celui-ci est en constante mutation.

Premier constat : on croyait la géographie immuable, du moins dans nos jeunes classes où l’on se réfugiait souvent en elle pour se protéger des soubresauts de l'Histoire ; on apprend qu'elle est aussi "mouvante".
Mouvante parce que le réchauffement climatique va apporter à la Terre plus de mouvements en un temps réduit – le temps humain –, que n'ont pu lui apporter, sur les siècles passés – le temps long –, explosions volcaniques, mouvements tectoniques des plaques avec comme conséquence tremblements de terre et tsunamis.

15 octobre 2013

10 milliards en 2050 ?


La population mondiale atteindra 9,731 milliards d'habitants en 2050 contre 7,141 milliards en 2013, selon une étude bisannuelle de l'Institut français d'études démographiques (Ined) publiée mercredi.

Il y aura 10 à 11 milliards d'habitants sur la planète à la fin du siècle, selon les projections de l'Ined qui réalise ses propres études en parallèle à celles réalisées par les Nations unies, la Banque mondiale ou d'autres grands instituts nationaux.
Le cap des 6 milliards avait été dépassé en 1999, et il aura fallu douze ans pour atteindre les 7 milliards en 2011.

10 octobre 2013

Ralentissement de la croissance démographique en Belgique

La population légalement enregistrée en Belgique était de 11.099.554 habitants au 1er janvier 2013, soit une augmentation de 63.606 personnes (+0,6 %) par rapport à janvier 2012, selon les chiffres officiels communiqués jeudi par la DG Statistique. Cette croissance est légèrement inférieure à celles des 5 années antérieures, note le communiqué. Le « solde » des nouveaux Belges était de 84.682 en 2011, 111.361 en 2010, 86.825 en 2009 et 86.214 en 2008.

La population croît grâce à l’immigration

Un peu plus d’un quart de l’accroissement est dû à la balance positive des naissances par rapport aux décès. Le mouvement naturel continue donc de faire gonfler la population, même si le nombre de naissances s’érode inexorablement (126.993 en 2012 pour 127.655 en 2011) et que les décès, quant à eux, sont en recrudescence sensible (109.034 en 2012, 104.247 en 2011), pour la première fois depuis 2003.
L’immigration représente la part restante, plus importante, de l’accroissement observé en 2012. Le mouvement migratoire international s’est clôturé sur un solde positif de 44.365 unités, son poids cessant de croître.

Disparités régionales

Géographiquement, des disparités importantes apparaissent. La population a augmenté de 31.094 unités en Flandre, de 16.731 unités en Wallonie et de 15.781 unités dans la Région de Bruxelles-Capitale.





09 octobre 2013

Gaspillage de l'eau, un appel du Secrétaire général de l'ONU

Appel de Ban Ki-Moon à arrêter le gaspillage de l’eau


Le monde doit combattre le gaspillage de l’eau, a déclaré mardi le secrétaire général des Nations unies en mettant en garde contre la raréfaction des ressources hydrauliques dans les prochaines années. S’exprimant à l’ouverture du Sommet de l’Eau à Budapest, M. Ban a souligné que la moitié de la population mondiale pourrait être confrontée à un déficit hydraulique en 2030 lorsque la demande dépassera de 40% l’offre. «Nous devons faire face à des pratiques qui ne pourront pas durer... L’eau est gaspillée et mal utilisée dans tous les secteurs dans tous les pays», a-t-il affirmé. «Nous devons utiliser ce que nous avons d’une manière plus équitable et plus intelligente», a ajouté M. Ban. Il a appelé à une plus grande coopération entre les pays pour faire face à des «défis communs» dus à la raréfaction de l’eau. Les pays doivent travailler ensemble pour assurer une agriculture durable, garantir la sécurité alimentaire, s’attaquer au changement climatique et promouvoir une hygiène adéquate, a souligné M. Ban. «L’humanité a consommé plus de ressources au cours des cinquante dernières années qu’elle ne l’a fait pendant cinq mille ans», a rappelé de son côté le président hongrois Janos Ader qui accueille ce sommet. Le sommet se tenait dans le cadre de l’Année internationale de la coopération hydraulique, une initiative des Nations unies.
lesoir.be

30 septembre 2013

New York dans un "timelapse"




Plus de 50 000 clichés de 50 fois la résolution d'une image HD sur un intervalle de six mois...
Voilà l'incroyable "timelapse" réalisé par Andrew Garaci.

Les disparités sociales à Bruxelles


29 septembre 2013

La ségrégation socio-spatiale à Paris est de plus en plus aigüe. Aussi dans d'autres métropoles européennes ?


Dominique Reynié est politologue, professeur à Science Po Paris. Il a publié sur sa page Facebook le texte ci-dessous, où il torpille la capitale française. Un texte qui ne peut nous empêcher de repenser à la polémique lancée par le journaliste Jean Quatremer, avec son article sur « Bruxelles pas belle  ».

Néanmoins, les angles d’attaques sont très différents. Là où Bruxelles se voyait reprocher sa «  saleté  » et son désordre, Paris est accusée de repousser les classes moyennes de son centre par des prix prohibitifs. D’autre part, Dominique Reynié nous confie qu’il n’avait pas entendu parler de la polémique « Bruxelles pas belle », pas plus que la réplique de nos confrères de la Dernière Heure « Paris poubelle ville du monde ».
«  Je connais un peu Bruxelles pour m’y être rendu souvent  », raconte Dominique Reynié. «  Mais je ne prétends pas avoir une connaissance scientifique de la capitale de l’Europe  ». Le politologue souligne quand même qu’il est marqué par le fait que la ville est «  complètement envahie par les organisations européennes  », ce qu’il considère être un «  rapt  ». «  Rapt  » qu’il retrouve d’ailleurs à Paris, dans une moindre mesure et pour d’autre institutions.

« Paris n’est pas une ville »

Le texte intégral signé Dominique Reynié.
«  Si j'étais le patron d'un parti « socialiste », j'interdirais à l'un de mes adhérents d'être élu maire « socialiste » d'une ville comme Paris.
Une ville saturée de multimillionnaires, à 8000€ le prix moyen du m2, où 190.000 logements ne sont jamais occupés, car résidences secondaires de grandes fortunes planétaires presque toujours absentes ; une ville d'où les classes moyennes sont exclues, après l'expulsion des ouvriers, il y a 20 ou 30 ans ; une ville où les modestes n'ont plus leur place, sinon comme employés, charriés quotidiennement par RER, des heures durant, depuis leurs lointaines banlieues, menacés d'un octroi, car « le bruit et les odeurs » de leurs voitures irritent l'oreille subtile et le nez fin des bobos installés dans un écologisme d'abondance et de proximité ; une ville qui foule au pied la loi LRU sur les logements sociaux, où le nom des immigrés et de leurs enfants ornent volontiers les plaques commémoratives ronflantes, mais se retrouvent si peu souvent, autant dire jamais, sur les boîtes à lettres des immeubles haussmanniens ; une ville devenue un immense musée de luxe, ouvert à un tourisme de déambulation de masse, où les boulevards légendaires - oui, les « boulevards », autrefois si populaires - accueillent des cafés où un brave verre de simple bordeaux se négocie entre 15 et 18€.
Une ville où les étudiants ne peuvent plus vivre, étudier, oui, mais vivre, non, le prix d'un studio (lisez « placard à balais ») oscillant désormais entre 600 et 800 € par mois, avec 3 ou 6 mois de caution et la garantie des parents, grands-parents et arrières grands-parents, et jusqu'à la dixième génération ; une ville où les librairies ont été remplacées par des marchands de chaussures à 1500€ la paire, une paire pareille à deux lacets entremêlés noués sur un bout de carton ; une ville truffée de policiers, dix fois plus qu'à Marseille et pourtant à peine plus peuplée ; une ville hostile aux « tours » qui pourraient la « défigurer », ville hypocrite qui ne veut pas dire qu'elle est rétive au retour de la multitude, autrement dit de la populace. Non, vraiment, Paris n'est plus une ville populaire. Paris n'est plus une ville.  »

Source : lesoir.be

23 septembre 2013

Quelques diagrammes ombrothermiques ...




Le réchauffement global est-il avéré ?

Les analyses scientifiques de plus en plus précises laissent peu de place au doute sur l’évolution du climat et l’impact humain. Le cinquième rapport du GIEC sera dévoilé vendredi à Stockholm. Il devrait confirmer le réchauffement observé. Plus abouti, le document aura la lourde tâche de relancer un cycle de négociations internationales embourbé depuis Copenhague.
Pour les climato-sceptiques, le réchauffement atmosphérique n’a rien d’avéré. Il n’est certainement pas dû à l’homme et s’il devait avoir des conséquences elles ne seraient pas aussi terribles qu’on voudrait bien nous le faire croire. Pour 98 % de la communauté scientifique, en revanche, le phénomène repose sur un ensemble de faits scientifiquement établis. Nombre d’études révèlent par exemple que la température moyenne globale de l’air à la surface de la terre a augmenté de 0,8 °C depuis le début du XXe siècle, que les trois dernières décennies ont été les plus chaudes de l’histoire, et que nos océans ne cessent de se réchauffer.
Conséquence : l’eau, plus chaude, se dilate, prend du volume, et entraîne une élévation globale du niveau des mers. "La dilatation thermique est responsable à 57 % des 3 millimètres gagnés chaque année par la mer sur la terre", commente Jean-Louis Tison, glaciologue à l’ULB. "Le reste résulte de la fonte des glaces." Les glaciers de montagne, d’abord, qui déversent de l’eau via les rivières, et les deux calottes glaciaires du Groenland et de l’Antarctique qui libèrent des blocs de glace d’eau douce dans les Océans et participent à cette élévation.

21 septembre 2013

L'environnement loin des préoccupations ?


Les Belges sont moins préoccupés par les questions d'environnement qu'il y a 4 ans. Un Belge sur deux seulement, se préoccupe de la pollution. La santé reste la préoccupation première des sondés, suivie du pouvoir d’achat et de la liberté d’expression. C'est ce qui ressort d'un sondage commandé par Interenvironnement Wallonie à l'Institut Dedicated.
Dans le classement des préoccupations des sondés, la pollution occupe la neuvième place, loin derrière la santé, le pouvoir d’achat, la liberté d’expression, l’emploi.
L’association Interenvironnement qui a commandé le sondage y voit une nette priorisation des préoccupations individuelles par rapport aux préoccupations collectives. "Le citoyen pense à SA santé, SON pouvoir d’achat, SA liberté d’expression,  avant de penser collectif. L’enseignement recule d’ailleurs après la pollution." L’intérêt pour la situation économique mondiale ou la biodiversité s’en trouvent affaiblis.
Recul des préoccupations environnementales : " Pas si étonnant "
Pour Interenvironnement, le recul des thèmes environnementaux dans les préoccupations des belges étonne surtout par l’ampleur du recul. "Vu la place qu’occupe le socio-économique dans les médias depuis 4 ans, il est peu étonnant que ces thèmes soient prioritaires dans les intérêts des citoyens".  
Plus interpellant: 9 % des sondés répondent n’avoir jamais entendu parler des changements climatiques, contre seulement 1%, en 2006. A noter toutefois la différence de terminologie : à l’époque, le sondage utilisait les termes de "réchauffement" climatique, peut-être plus significatif auprès de la population.




16 septembre 2013

Contrôle de synthèse 1 - Octobre 2013



1. Convertir une échelle numérique en échelle linéaire et inversement.
2. Localiser un territoire par rapport à un autre en donnant une direction et en calculant une distance.
3. Utiliser correctement les qualificatifs en rapport avec les points cardinaux.
4. Restituer le nom des différents continents et océans.
5. Localiser sur un planisphère les limites naturelles (23) des continents. 
6. Identifier les limites naturelles des continents (exercice inverse précédent).
7. Délimiter sur un planisphère les quatre continents suivants : Asie, Amérique, Afrique et Europe.
8. Identifier les cinq parallèles particuliers et restituer leur latitude.
9. Calculer des coordonnées géographiques en degrés et minutes (fiche 1).


Matériel
Crayons de couleur
Latte
Equerre
Rapporteur
Calculatrice

11 septembre 2013

Le gaspillage alimentaire

Alimentation: le gaspillage coûte 750 milliards de dollars par an




Dans la seule "Asie industrialisée", région qui comprend la Chine, le Japon et la Corée du Sud, près de 200 kg de légumes et céréales par habitant sont gaspillés chaque année en moyenne. 
Plus d'un milliard de tonnes de nourriture, soit un tiers de la production mondiale, est gaspillée chaque année, pour un coût d'environ 750 milliards de dollars et avec un impact très négatif sur l'environnement, a déploré mercredi la FAO.
"Le gaspillage massif de nourriture a une grande importance sur la sécurité alimentaire et la sécurité en général", a déclaré José Graziano da Silva, directeur général de l'organisation de l'ONU pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), basée à Rome, en présentant un rapport à ce sujet.
"Nous ne pouvons tout simplement pas permettre qu'un tiers de toute la nourriture que nous produisons soit gaspillée ou perdue à cause de pratiques inadéquates, lorsque 870 millions d'êtres humains sont affamés chaque jour", s'est-il indigné.
Ce gaspillage "effarant" porte aussi "un grave préjudice à l'environnement", note la FAO. A titre d'exemple, "chaque année, la nourriture produite sans être consommée engloutit un volume d'eau équivalant au débit annuel de la Volga en Russie et est responsable du rejet dans l'atmosphère de 3,3 milliards de tonnes de gaz à effet de serre".
Dans la seule "Asie industrialisée", région qui comprend la Chine, le Japon et la Corée du Sud, près de 200 kg de légumes et céréales par habitant sont gaspillés chaque année en moyenne et la perte de produits alimentaires se produit tout au long de la chaîne.
A l'échelle mondiale, 54% du gaspillage alimentaire se situe "en amont", c'est-à-dire pendant les phases de production, de manutention et de stockage et 46% "en aval", lors de la transformation, la distribution et la consommation. "Les pays en développement sont plus touchés par les pertes alimentaires durant la production agricole; en revanche, les régions à revenus moyens et élevés connaissent davantage de gaspillage au niveau de la vente au détail et des consommateurs", relève la FAO.

08 août 2013

Croissance démographique mondiale : les enjeux




Onze milliards. C’est le nombre d’habitants que devrait compter la Terre en 2100, d’après un rapport de l’ONU publié en juin dernier. Une prévision revue à la hausse puisque le précédent rapport, datant de 2010, tablait plutôt sur une population de 10,1 milliards en 2100. Une perspective alarmante, au vu des ressources de la Terre. Comment endiguer cette croissance ? Petit tour non-exhaustif de la question.






La population mondiale n’est donc pas en train de se stabiliser. Rien qu’en 2012, 82,1 millions de Terriens supplémentaires ont rejoint les rangs. L’augmentation la plus importante depuis 1994.
En prenant en compte les tendances actuelles, l’ONU a établi trois scénarios, du plus optimiste (6,8 milliards de Terriens en 2100) au plus pessimiste (16,6 milliards d’individus en 2100). Le scénario médian, le plus probable, estime la population mondiale à 8,1 milliard en 2025, 9,6 en 2050 et 10,9 en 2100. Une hausse de 800 millions en 2100 par rapport aux chiffres de 2010.
Pour Claude-Michel Loriaux, professeur émérite à l'UCL, socio-démographe, il y a de quoi s'inquiéter. "Il y a eu une vague d’optimisme dans les années 2000-2010. On pensait à une stabilisation autour de 9 milliards et en dessous. C’est une source de problèmes pour la planète, ça ne fait pas l’ombre d’un doute. De 7 milliards aujourd'hui à 11 milliards en 2100, il y a une différence de quatre milliards. C'est une valeur dont on ne parlait même pas en 1950, il n'y avait alors que 2,5 milliards de Terriens. Et ce n’était déjà pas si facile en 1950...", nous explique-t-il, en ajoutant que lui-même a changé d'avis au cours de sa carrière. "Il y a quelques années, j’avais tendance à dire que les cris d’alerte n’étaient pas justifiés, que c'était une défense des pays occidentaux contre la croissance des pays pauvres. Mais aujourd’hui, on ne peut pas nier qu’il y aura des problèmes, en terme de ressources, de santé, d'éducation..."
En effet, déjà aujourd’hui, avec "seulement" un peu plus de 7 milliards d’individus, nous utilisons l’équivalent de 1,5 planète chaque année. En 2050, selon des scénarios modérés de l’ONU, nous aurons besoin de deux planètes pour subvenir à nos besoins, rapporte le Global Footprint Network. En tout cas, si nous continuons à vivre de la même façon…

17 juin 2013

Le Pacifique Nord, une "soupe de plastique"

Le "Septième continent", la grande poubelle du Pacifique

Véronique Leblanc
Le navigateur Patrick Deixonne s’est rendu sur le "Septième continent" pour étudier la "soupe de plastique" dans le Pacifique Nord. Cette zone, en raison des courants marins, capture des débris de plastique par millions de tonnes.
On l’appelle le "Great Pacific Garbage Patch" - la grande poubelle du Pacifique - ou bien encore le "Septième continent", né de l’océan, entre la Californie et Hawaï. 3,4 millions de km2 envahis par des déchets de plastique et créant une zone égale à un tiers des Etats-Unis ou bien six fois la France. "Une zone et non une plaque", confirme le navigateur-explorateur français Patrick Deixonne, "car le 7e continent n’est pas une terre ferme où l’on puisse marcher pour planter un drapeau sur un amoncellement de vieux pneus, bouées, jouets, etc. Le 7e continent ressemble plus à une ‘soupe de plastique’ dont les macrodéchets (plus de 15 cm) constituent la partie visible d’une pollution aux microdéchets présente jusqu’à 30 mètres de profondeur."

14 juin 2013

Une tempête en "timelapse"



Le 3 juin, au Texas, le chasseur de tempêtes Mike Olbinski a réussi à capturer une gigantesque cellule tempétueuse.
Le document vidéo montre une multitude de clichés qui, mis bout à bout, donnent un aperçu impressionnant de la naissance du creux dépressionnaire et de la façon dont  il s'alimente en air chaud et humide.

www.mikeolbinski.com


27 mai 2013

Les séismes

Source de la vidéo : http://www.afp.com/fr



La théorie de la tectonique des plaques est née en partie de l’analyse de la localisation des activités sismique et volcanique en rapport avec l’étude des fonds océaniques menée par les navires océanographiques.

Séismes ?

Les séismes correspondent à une rupture des roches au sein de la lithosphère. Les ondes libérées par un séisme sont appelées « ondes sismiques », et comme les ondulations qui naissent à la surface de l’eau quand on y jette un caillou, elles rayonnent à partir d’un point dénommé le foyer du tremblement ou épicentre. L’épicentre correspond à la zone où les dégâts sont les plus importants.

Volcanisme ?

Une éruption volcanique se manifeste toujours par une montée du magma contenant des gaz dissous. Elle naît aux endroits où l’écorce terrestre présente des cassures suffisamment larges pour laisser monter le magma en fusion. Ainsi, jalonnant des failles de la croûte terrestre, les volcans sont presque toujours disposés en  alignement. 



14 mai 2013

Objectifs de l'examen de juin 2013


Le planisphère de Cantino (1502), conservé à la Bibliothèque Estense de Modène

02 mai 2013

Toutes les cinq secondes, un enfant meurt de faim, alors que l’agriculture pourrait nourrir 12 milliards d’êtres humains


Ziegler: "Un enfant qui meurt de faim est un enfant assassiné"

Valentin Dauchot

Ancien rapporteur spécial des Nations unies pour le Droit à l’alimentation, le Suisse Jean Ziegler n’en finit pas de dénoncer "l’hypocrisie" générale.
Toutes les cinq secondes, un enfant meurt de faim, alors que l’agriculture pourrait nourrir 12 milliards d’êtres humains, selon l’ONU.
Ancien rapporteur spécial des Nations unies pour le Droit à l’alimentation, le Suisse Jean Ziegler n’en finit pas de dénoncer "l’hypocrisie" générale.
Vous parlez de “Massacre de la faim”, de “Destruction massive”, on a dépassé le stade de l’urgence ?
Oui, et les chiffres publiés par la FAO (Food and Agriculture Organisation des Nations Unies, NdlR) sont éloquents : Toutes les cinq secondes, un enfant de moins de 10 ans meurt de faim, 57 000 personnes par jour, 900 millions de personnes qui sont sous-alimentées en permanence alors que selon ce même rapport, l’agriculture d’aujourd’hui pourrait nourrir 12 milliards d’êtres humains. Conclusion : pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, il n’y a pas de manque objectif de nourriture, un enfant qui meurt de faim est un enfant assassiné.

30 avril 2013

Le consommateur occidental peut changer les choses ...

Bangladesh, plus qu’un simple drame


Un édito de Vincent Slits.
Le Bangladesh compte ses morts. Au total, ce sont plus de 380 personnes qui ont perdu la vie depuis l’effondrement de cet immeuble-usine, regroupant des ateliers de confections travaillant pour le compte de différentes marques de textile, y compris occidentales. Un bilan terrible qui doit nous interpeller...


Pour plus d'infos, voir également achact.be