28 septembre 2015

HUMAN / Le film




HUMAN est un dyptique de récits et d’images de notre monde pour créer une immersion au plus profond de l’être humain.   À travers les témoignages remplis d’amour, de bonheur, mais aussi de haine et de violence, HUMAN nous confronte à l’Autre et nous renvoie à notre propre vie. De la plus petite histoire du quotidien, jusqu’aux récits de vie les plus incroyables, ces rencontres poignantes et d’une sincérité rare, mettent en lumière ce que nous sommes, notre part la plus sombre mais aussi ce que nous avons de plus beau et de plus universel. La Terre, notre Terre, est sublimée au travers d’images aériennes inédites accompagnées de musique tel un opéra, qui témoignent de la beauté du monde et nous offrent des instants de respiration et d’introspection. HUMAN est une œuvre engagée qui nous permet d’embrasser la condition humaine et de réfléchir au sens même de notre existence.




Source : www.goodplanet.org


27 septembre 2015

Contrôle de synthèse 1 - Octobre 2015



Planisphère de Pedro de Lemos, cartographe portugais (XVIe siècle). 
© Bibliothèque nationale de France.

  1. Identifier une échelle linéaire, une échelle numérique.
  2. Donner la signification d'une échelle linéaire, d'une échelle numérique.
  3. Convertir une échelle linéaire en échelle numérique et inversement.
  4. Restituer une rose des vents à 16 directions.
  5. Localiser un lieu par rapport à un autre, en donnant une direction et en calculant une distance réelle à vol d'oiseau.
  6. Utiliser les qualificatifs en rapport avec les points cardinaux.
  7. Définir la notion de continent.
  8. Citer le nom des 6 continents et des 4 océans.
  9. Reconnaître sur un planisphère 23 limites naturelles des continents.
  10. Localiser sur un planisphère 23 limites naturelles des continents (inverse de l'objectif précédent).
  11. Délimiter sur un planisphère l'Asie, l'Amérique, l'Afrique, l'Europe et l'Océanie.
  12. Citer le nom des 5 parallèles particuliers, connaître leur latitude, les identifier sur une coupe de la Terre ou sur un planisphère.
  13. Construire géométriquement des latitudes et des longitudes.

Matériel
  • Crayon ordinaire
  • Crayons de couleurs
  • Latte
  • Rapporteur

25 septembre 2015

L'Islande, une terre de contrastes

Time lapse de Johannes Baumann






Quelle politique de la ville en Wallonie ?

La guerre des villes wallonnes est déclarée





Toutes rêvent d'une aura métropolitaine et d'un " effet Bilbao ", symbole de renouveau. Mais les moyens ne sont pas légion. Longtemps délaissées au profit des périphéries, les principales villes wallonnes s'engagent dans une course aux grands projets urbains.

Une gigantesque gare-passerelle de Calatrava à 253 millions d'euros pour Mons, en "réplique" au demi-milliard d'euros consenti pour la gare des Guillemins, à Liège. Un centre commercial à Namur, en coeur de ville, pour contrer l'exode vers L'Esplanade à Louvain-la-Neuve. Une course aux mètres carrés de bureaux, dans les grands pôles urbains, pour préparer un éventuel leadership généré par les transferts institutionnels. Une moisson de centres de congrès, à Mons, Charleroi, Namur, après Liège, Marche-en-Famenne ou Libramont. Et, surtout, un "geste architectural fort", si possible copieusement subsidié, pour illustrer la carte postale d'une ville en mutation, voire de toute une région. Assiste-t-on à une nouvelle guerre entre les villes wallonnes ?
Ces quelques exemples répondent à des logiques aussi variées que leur vocation et que leur financement. Ils émanent, selon les cas, des pouvoirs publics, du privé ou encore de partenariats complémentaires. Les comparer de manière équivalente n'aurait dès lors que peu de sens. Pourtant, tous illustrent une ambition métropolitaine qui se dessine avec insistance dans les principales villes wallonnes. Depuis quelques années, la plupart d'entre elles caressent le doux rêve d'un "effet Bilbao", en référence à la ville portuaire du nord de l'Espagne dont l'audacieux musée Guggenheim, ouvert en 1997, symbolise aujourd'hui sa mutation vertueuse. 



06 septembre 2015

Evolution inquiétante des villes en Wallonie ?

Ce n’était pas une surprise, la situation commerciale des centres-villes en Wallonie ne cesse de se détériorer. 



Le constat est là et force est de remarquer que la chute libre des commerces en hypercentre n’est pas près de s’arrêter. Jeudi matin, l’association du management de centre-ville (AMCV) a présenté les résultats de son étude sur la situation commerciale des centres-villes wallons. Et la situation est loin d’être au beau fixe.
En quelques chiffres sur l’ensemble des centres-villes wallons, selon l’AMCV, en deux ans, on est passé de 10 558 cellules potentiellement commerciales à 9 668. Le taux de cellules vides s’est intensifié et les flux de piétons ont diminué.
Redéfinir le périmètre
Pour mener cette analyse, il a même fallu redéfinir le périmètre réellement commercial des centres-villes, c’est-à-dire en supprimant les zones où le logement a remplacé le commerce.
Selon l’AMCV, ce sont les développements des pôles commerciaux en périphérie qui sont les principaux responsables de cette tendance à la baisse dans les centres-villes. Il faut écrire que Mons est d’ailleurs bien lotie en la matière.
Parmi les "mauvais élèves", le centre de Mons n’est donc pas épargné par l’érosion du flux de piétons. L’analyse s’est donc basée sur les deux artères commerciales montoises, à savoir la Grand’Rue piétonne et la rue de la Chaussée. "Entre juillet 2013 et juillet 2015, on est passé de 10 % à 23 % de part de cellules vides. A l’inverse des autres villes, on constate qu’il y a encore plus de cellules vides dans la rue piétonne que dans le reste du centre-ville ! C’est plus fort, plus rapide que partout ailleurs. La densité commerciale dans le piétonnier se réduit aussi ", explique Jean-Luc Calonger, le président de l’AMCV.



03 septembre 2015

Ressources cartographiques

Cartesius, un trésor de cartes en ligne


Quatre institutions scientifiques : l’Institut géographique national ainsi que les Archives de l’Etat, la Bibliothèque royale et le Musée Royal de l’Afrique Centrale ont mis en commun leurs riches collections de cartes de géographie, cartes anciennes, photos aériennes et plans de ville. Ils ont créé un site web adressé aux chercheurs et au grand public.
Cartesius permet une recherche efficace, la visualisation des collections, et de cartes annotés, mais aussi un espace myCartesius où le public peut collectionner des cartes, et surtout les personnaliser par des textes, des photos et d'autres cartes.